JE T'AIME SKYE BOUTIN

JOHN PHILLIP ABBOTT & PESCE KHETE > dessins et peintures
Vernissage vendredi 20 novembre 2009 à 18:30 (exposition jusqu'au 18 décembre 2009)

Je t’aime Skye Boutin présente un ensemble d’œuvres de John Phillip Abbott et Pesce Khete sur le thème de la narration.


Pesce Khete, sans titre, peinture à l'huile sur papier, 2009

Le travail de Pesce Khete emprunte le vocabulaire de l’enfance et des contes pour dépeindre des portraits ou des relations humaines dans une veine expressionniste. Par l’assemblage de papiers, il crée une syntaxe et un espace de composition où l'émotion est décrite avec un geste spontané, à la frontière de l’écriture et de la peinture.

John Phillip Abbott, sans titre, encre sur papier, 2009


Dans ses œuvres créées à partir de textes, Abbott écrit la réalité de son quotidien sur le registre d’un journal personnel. Skye Boutin représente le premier amour de son école primaire. Cet épisode, comme beaucoup d’autres est retranscrit sur une page de son histoire où les lettres sont utilisées comme éléments à la fois visuels et narratifs.


VUES DE L'EXPOSITION



CRY HAPPY

CARL D'ALVIA > exposition personnelle - dessins et sculptures

Vernissage jeudi 01 octobre 2009 à 18:30 (exposition jusqu'au 13 novembre 2009)

Carl D’Alvia nous tend un piège. De prime abord nous commençons par formuler un constat simple et rapide : D’Alvia est un sculpteur et un dessinateur qui crée des animaux imaginaires, drôles et poilus, ressemblant à des personnages de bande dessinée ou des peluches d’enfants. La rapidité de ce constat est d’autant plus simple que ses compositions sont précises, sobres et comportent peu de sujets.
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Carl D'Alvia, Tondo, encre sur papier, 2009

Mais ce premier niveau d’entendement nous laisse étonnamment perplexes et songeurs.…car les images de D’Alvia restent imprégnées avec force dans nos esprits et sa narration nous promène sur des terrains inattendus où le tragique et le comique vont de pairs.Viennent ensuite, se bousculant aux portillons de notre réflexion, une poignée de références à l’histoire de l’art, tendant vers la révérence, ou au contraire, la subversion.
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Lapdog, 2005, résine et peinture, 19x37x13, ed 3


Carl D'Alvia vit et travaille à New York. Il est représenté à Milan, Paris, New York et Toronto. Ses oeuvres récentes seront exposées sur le stand de la galerie à la foire de SLICK du 23 au 26 octobre 2009.


VUES DE L'EXPOSITION





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SLICK 09 au CENTQUATRE

Vues du stand de la galerie van der Stegen lors de la quatrième édition de la foire d'art contemporain SLICK qui a lieu pendant la FIAC à Paris, au CENTQUATRE (23-26 octobre 2009)



Melissa Steckbauer - Vanessa Fanuele


SR Labo - Leylagoor & Ann Guillaume


SR Labo - John Phillipp Abbot - Marine Pagès - Carl d'Alvia


Vanessa Fanuele - SR Labo


SR Labo (nominée pour le prix Slick/Arte) - Melissa Steckbauer - Vanessa Fanuele


HOW TO DISAPPEAR COMPLETELY and never be found

LUCIE PASTUREAU + DOROTHEE SMITH > une proposition d'Abel Llavall-Ubach
Vernissage jeudi 10 septembre 2009 à 18:30

En référence au titre du guide écrit par l’américain Doug Richmond (1985) expliquant pas à pas comment réussir un changement d’identité et à celui du morceau aérien du groupe anglais Radiohead (2000), cette exposition rassemble le travail de deux photographes sur le thème de la jeunesse et de la construction identitaire.
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L. Pastureau, sans titre, série Frères, 2006-2009, 15x15cm (ed 1)
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Les photos de Lucie Pastureau racontent sur le registre de l’album de famille, cette période aux frontières floues, entre l’adolescence et l’âge adulte. Les clichés sont pris sur le vif et capturent des instants de partage et d’intimité. Seule compte la transmission d’une expérience privée où les sujets se définissent par rapport à leurs pairs.
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D. Smith, sans titre, série Löyly, 2009, 60x80cm (ed 10)

Dorothée Smith fonctionne avec une autre temporalité et s’intéresse davantage à l'identité de genre. Ses sujets androgynes sont en pleine introspection et immobiles. Leur expérience personnelle est révélée par le regard, la pose, le cadre... Faisant écho à l’iconographie religieuse, ils baignent dans la lumière comme s’ils étaient visités par un au-delà. L’intensité émotionnelle est révélée aussi par le dialogue que l’artiste instaure entre les portraits et les paysages, dans la plus pure tradition romantique.

Le travail de Dorothée Smith est accompagné d'une pièce sonore de Sir Alice.
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D. Smith, sans titre, série Löyly, 2009, 60x80cm (ed 10)


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AMALGAME

SR LABO
Vernissage jeudi 11 juin 2009 à 18:30

"Et voici que sous nos yeux la cire, telle la déesse Isis ôtant un à un ses voiles, nous révèle son inessentialité féconde ; sa parenté avec la célèbre formule d’Héraclite : « La Nature aime à se cacher en se montrant. ». Mais, si une réalité en cache souvent une autre, il est des moments, plus rares encore, où deux réalités - que tout oppose – s’amalgament en un seul corps. Les sculptures organiques d’SR Labo relèvent de cet ordre, de ce type d’état quantique où la matière s’agite et renonce à toute identité stable. (...) "
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Plante, 450x215mm, Cire et verre, 2009 O
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" (...) Poursuivant l’œuvre poétique des anciens botanistes pour qui les plantes n'étaient qu'une variété particulière de bête se tenant la tête en bas, la taxinomie des formes, qu’SR Labo invente, défie les lois de la physique et de la biologie moderne : elle les contourne ou les parodie pour mieux nous inciter à contempler le monde du seul point de vue l’art ; autrement dit, du seul point de vue de la beauté des formes en leurs subtiles métamorphoses. " FC Baitinger


Objet Tradition, 620x140mm, verre, cire, métal cheveux, dent, 2009


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HOME N' GONE

John Phillip Abbott, Leylagoor & Ann Guillaume,
Vanessa Fanuele, Melissa Steckbauer
Vernissage vendredi 15 mai 2009 à 18:30
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"Home n' gone" : être chez soi et en être parti. L'exposition s'articule autour de cette double proposition traitée par cinq artistes. Lien d'appartenance familiale, géographique, culturel... "home" en anglais est aussi un point de départ ("homebase", "homepage",etc.) et un centre de gravité qui nous lie et nous invite à partir et à revenir.
Source d’un courant existentiel et alternatif ? Lien d'appartenance élastique ? C'est le sens de la deuxième proposition "n' gone", coordonnée à la première comme s’il s'agissait d'aller-retour qui se répètent, démontrant ainsi que le voyage d'une vie ne va pas sans un "chez soi" que l'on quitte et où l'on revient.



Vanessa Fanuele, Silence, technique mixte, 2009
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Melissa Steckbauer, Marie and Melissa, collage, 2007
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Leylagoor & Ann Guillaume, Dédales II, technique mixte, 2009
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John Phillipp Abbott, sans titre, encre sur papier, 2007

THEFLOW : HUNT

IMAGINEE et CONCUE PAR ©® (Christian Volckman & Raphaël Thierry)
Vernissage jeudi 12 mars 2009 à 18:30

Les galeries VAN DER STEGEN et ONE SHOT accueillent HUNT, le premier volet de l’exposition THEFLOW imaginée et conçue par le duo ©®.
" L’exposition présente un film d’animation, ainsi que des peintures s’inspirant de celui-ci. En autarcie, retiré de tout contexte environnemental, le duo s’est prêté au jeu du cadavre exquis et s’est ainsi laissé submerger par une vision plus directe du monde. L’invasion fut telle que ce premier volet s’est imposé comme une évidence : HUNT – la chasse – ou sens primitif de la survie (...)
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(...) Le film sert de support pour peindre. La technique d’animation numérique est rudimentaire, ce pour rejoindre la peinture comme procédé primaire d’expression. Partir du technologique pour regagner les rives de la poïétique, sans prendre parti pour l’un ou l’autre. Il s’agit de permettre aux deux types de médiums d’entrer en interaction et de confronter les caractéristiques qui leur sont propres." Astrid Rostaing
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I MOSTRI

Federico Solmi * Pesce Khete * Vanessa Fanuele * Melissa Steckbauer

Une proposition de Yann Perol
Vernissage jeudi 15 janvier 2009 à 18:80

I MOSTRI est un film de Dino Risi datant de 1963 composé d’une vingtaine de sketches au travers desquels le réalisateur sonde l’âme humaine pour n’en faire ressortir que le pire. En référence à ce film, cette exposition présente quatre artistes dont le travail est dominé par la présence de figures étranges et inquiétantes.

Pesce Khete * Federico Solmi * Melissa Steckbauer * Vanessa Fanuele * dans des travaux allant du dessin à l’installation en passant par la vidéo nous confrontent à leurs monstres. Reflet de l’artiste ou simple fruit de l’imagination, ces monstres oscillent du registre comique à l’inquiétante étrangeté. Ils nous font passer tour à tour de l’effroi, à la compassion ou encore au rire.

Federico Solmi, King Kong and the end of the world, picture animation, 4 mn 28,sec, 2006 ed 2./10 + 1 ex
Pesce Khete , untitled, oil on paper 83 x 114cm, 2006

Vanessa Fanuele , Land’s 102x66,5cm, 2008

Melissa Steckbauer, Eaters, watercolor on paper, 15x18,5cm, 2008

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